Ce qu'il faut de douleur
Et de plaisir qui voit
De rêves enchanteurs
Pour se bien maître en soi
Mais surtout pas besoin
D'être beau comme un Dieu
C'est la pluie du chagrin
Qui fait les plus beaux yeux
Quand se viendra l'argent
Maître de leur Amour
Ils seront pauvres gens
Perdus à tous secours
Toi, tu verras soleil
tes bois, et tes vallées
se baigner sous un ciel
Que tu feras crier
Mais oui, laissons les mots
Ruminer la rancoeur
Ils sont de pauvres sots
Débris de pesanteur
Je n'ai plus rien du tout
Et je l'ai bien voulu
Ni peur, ni dents de Loups
Et je suis vermoulu
Mais, j'ai de tout ce poids
Le beau privilège
De pouvoir Maître en Soi
C'est tout le sortilège
Alain Désormeaux - 26 juin 1958
jeudi 26 novembre 2009
vendredi 13 novembre 2009
mardi 10 novembre 2009
La Vie Incertaine
Plus besoin d'un crouton
Et d'un vin à deux Sous
D'un bonheur en carton
Qui fleurit n'importe où
Je veux ma vie ailleurs
Et trainer au hasard
Avec un air railleur
Et de joyeux fêtards
J'ai besoin d'un soin blanc
Et de cheveux dénoués
Par les Dieux ou le vent
Dans les prairies de Mai
Sans un brin de malice
Avec un bel entrain
Mordre à son beau caprice
Et m'enfuir au demain
Allons Muses farandoles
Rondez au son des vielles
Je m'en vais à l'école
Où on est infidèle.
Alain Désormeaux
Prieuré de Saint Gabriel
Et d'un vin à deux Sous
D'un bonheur en carton
Qui fleurit n'importe où
Je veux ma vie ailleurs
Et trainer au hasard
Avec un air railleur
Et de joyeux fêtards
J'ai besoin d'un soin blanc
Et de cheveux dénoués
Par les Dieux ou le vent
Dans les prairies de Mai
Sans un brin de malice
Avec un bel entrain
Mordre à son beau caprice
Et m'enfuir au demain
Allons Muses farandoles
Rondez au son des vielles
Je m'en vais à l'école
Où on est infidèle.
Alain Désormeaux
Prieuré de Saint Gabriel
lundi 9 novembre 2009
DEUX FEUX S'ETEIGNENT
Au lever du Soleil
A travers deux rires
Il a pris sa main
Et leurs yeux se baignent
A la Force du Soleil
Leurs ombres se mirent
Dans un noble Bassin
C'est un joli Règne
Au déclin du Soleil
Mon Dieu c'est bien pire
Ils ont laché les mains
Et deux feux s'éteignent
Au loin... Au loin.
A travers deux rires
Il a pris sa main
Et leurs yeux se baignent
A la Force du Soleil
Leurs ombres se mirent
Dans un noble Bassin
C'est un joli Règne
Au déclin du Soleil
Mon Dieu c'est bien pire
Ils ont laché les mains
Et deux feux s'éteignent
Au loin... Au loin.
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